Une ville, Nancy, une rue, boulevard Lobau, une voiture, une mini Austin, un modèle antédiluvien… & quelqu’un au volant, forcément… Je suis dans mon fourgon, je traverse la ville… Je suis derrière la mini Austin, feu rouge, feu vert… Elle cale… Comme un bon gros mâle basique derrière son volant, ça me fait marrer… Au début. J’entends le chauffeur tirer sur son démarreur comme un malade sans réussir à rien… Là le gros mâle basique ne s’amuse plus… ça m’énerve même… Derrière les autres veaux encore pire que moi klaxonne sans même savoir ce qu’il y a devant… ‘’Allez y bande de naze c’est un gosse en scooter sous un camion poubelle… Klaxonner y va se relever’’ Bon je descends et je m’approche de la mini… Ah put… Pour une mini c’est une mini… Pas la bagnole, la jupe de la fille… La fille elle est blonde… Et en mini… Ouais je l’ai déjà dit je sais… mais put… une mini mini… Si elle ne conduit pas les genoux serrés, on voit la culotte… Et si elle serre les genoux, c’est peut être justement parce qu’il n’y en pas… La bagnole pue l’essence… noyée complet… La bagnole noyée et moi je flotte… sur un nuage de stupre éventuel et surtout virtuel… Je lui souris à la souris… on sourit toujours à une femme… si elle est moins belle on appuie moins le sourire et on abrège c’est tout… là j’appuie bien… Elle tire toujours sur son démarreur… Elle ne me regarde même pas, elle doit avoir peur de se faire engueuler peut être… je n’imagine même pas qu’elle ne m’ai pas vu ou ça commencerai bien mal… je toque à sa vitre, elle ouvre… ‘’Arrêter de tirer dessus comme ça, elle va finir par prendre feux…’’ Réponse de ma blonde ‘’vous croyez’’ … Le bon mâle se marre évidemment… ‘’Allez ouvrer le capot’’ Elle ouvre, je soulève, je démonte le filtre à air, je laisse respirer 5 mn… ‘’Bon, on repousse le starter, on accélère à fond pour ouvrir le carburateur, on ne relâche pas la pédale et on tourne la clé’’… Elle fait, ça démarre… je remonte le filtre, je referme le capot, elle rayonne… ‘’Vraiment merci, merci…’’ J’ai les mains noires, je lui demande gentiment si elle à un kleenex ou même une autre marque, pas grave du moment que ça essuie… Elle a, elle m’en sort un… du temps qu’elle fouille dans son sac sur le siège d’à côté, je matte… Vachement bien la mini (la voiture)… on est assis tellement bas qu’on a les genoux très haut et que ça fait remonter la mini (la jupe… vous suivez ou quoi ?). Elle me tend le mouchoir ‘’si vous voulez vous laver les mains, j’habite tout près’’… Ben tu parles que je veux… je remonte dans le fourgon et je la suis, pas très loin effectivement, on se gare devant un petit immeuble, 4 où 5 étages… je descends, je la rejoins devant, elle est en train de chercher ses clés… un vrai sac de filles et pas celui de Mary Poppins… celui-là déborde comme un vrai sac de filles…
Premier étage, on entre, un petit appartement sympa, elle me conduit à la salle de bains, je me lave les mains et évidement je regarde à droite et à gauche… Pas une affaire de mec… Célibataire ? Lesbienne ? Possible… beaucoup de crayons, de rouge à lèvres, deux démaquillants… Je sors de la salle de bains, elle est au bout du couloir ‘’Vous voulez boire quelque chose ? Un café ?’’ Il est 9 heures du matin, un café ça ira très bien… Elle me fait entrer dans sa cuisine séjour salle à manger salon de réception… L’appartement n’a pas l’ai très grand mais en tout cas bien agencé, bien tenu, bien décoré, bien propre… Je lui en fais compliment en ajoutant ‘’Que c’est un vrai appartement de fille, qu’on y sent régner une certaine douceur et qu’on y prendrait bien pension’’ Bon pas terrible mais il faut bien commencer par quelque chose… Elle sourit et me dit qu’effectivement il n’y a pas d’homme ici… Bien, me voilà super renseigné… Pas d’homme… Célib ou lesbi ? La cafetière tourne, elle a fait un café frais, du vrai pas de la poudre, elle sort deux tasses qu’elle pose à coté de la cafetière, elle les remplis et les apporte. Elle s’assoie en face de moi, son café est bon et elle est jolie… je la détaille un peu en discutant… Belle femme vraiment… le bas j’ai vu, une mini mini en cuir noir… des guibolles à donner un infarctus à un taliban… un tee shirt blanc, quelques rivets brillant avec un truc marqué en anglais ‘’freedom’’… Et une poitrine plus qu’honnête qui pousse sur les rivets… Elle est assez grande, fine, la taille étroite, les hanches légèrement galbée, les seins plantés assez haut, bien dessiné, elle sait s’habiller et se mettre en valeur… Je l’écoute babiller… Ou plutôt je l’entends babiller… Elle a des yeux profond quand ils vous dévisagent, curieux quand ils vous questionnent et coquins quand elle sourit… ‘’Un autre café’’ J’acquiesce… Elle se lève, prend la cafetière, s’approche… Elle est à côté de moi… Je lui dis ‘’Attention de ne pas renverser’’ au moment même où je pose la main derrière son genoux… Elle arrête son mouvement… Ne bouge plus… Je m’enhardis… Je glisse ma main sur son mollet… J’essaye d’être doux sur sa peau… Une caresse qui ne soit ni un chatouillis qui horripile, ni une agression… Juste une caresse qui soit une réponse à sa beauté et au désir qu’elle a fait naître chez moi… Je remonte lentement… A la découverte de chaque centimètre carré de sa peau… Je veux qu’elle profite de mes doigts qui la découvrent… Je glisse entre ses cuisses… Ma main remonte très haut, quitte ses cuisses pour se poser sur son mont de Vénus… Je sens le tissu de sa culotte… Très fin… Le dernier rempart de sa féminité… Ne pas l’assaillir… Je ne veux pas abattre ses remparts… Je voudrais qu’elle se donne… Je prends la cafetière qu’elle a encore à la main et je la pose sur la chaise à côté de moi… Je récupère ma tasse qu’elle n’a pas eu le temps de remplir et je la pose avec… Mes deux mains se posent sur ses hanches… Je la fait pivoter vers moi… ses yeux ont changé de couleur, un peu, et d’expression, beaucoup… Je pense y deviner l’attente qui a succédé à la surprise… Surtout ne pas le décevoir… Mes yeux dans les siens, je glisse les mains sous son tee shirt… je cueille ses seins… Ils sont chaud, ils sont fermes… J’en caresse le haut, ce que les bonnets ne couvrent pas… délicieuse découverte… Je prends le bas de son tee shirt que je fais passer par-dessus sa tête… Là s’offre à moi la vue de cette splendide poitrine posée sur ce balconnet violine qui met en relief sa peau mate qui semble chargée si ce n’est de sucre ou de miel, au moins d’une merveilleuse douceur…
J’avance la bouche, j’embrasse ses seins… Résister à l’envie de tout lui arracher… La déshabiller lentement… Il ne s’agit pas de la conquérir mais de lui donner le désir de m’offrir ses clefs… J’embrasse ses seins, mes mains passent sous ses bras, remontent sur ses épaules que je caresse… je l’attire à moi… Je voudrais m’enivrer de l’odeur de sa peau… je descends jusqu’à l’attache de son soutien-gorge que je dégrafe sans hâte et sans brutalité… Je fais glisser les bretelles de ses épaules… Elle m’aide en baissant un peu les bras… Ses seins eux ne semblent pas descendre d’un millimètre… Les aréoles sont larges, les tétons durs comme des crayons… Ils appellent mes doigts et ma langue… Je l’embrasse, je la lèche, je l’aspire… Le plaisir des dieux donné aux mortels… et c’est justement parce que je suis mortel que chacun de ces plaisirs et un cadeau… Mes mains se posent sur ses hanches… J’ai quitté ses seins… Une nouvelle fois je vais river mes yeux dans les siens… J’ai besoin de son accord… Le désir dans ses yeux me donne l’autorisation de poursuivre… Mes mains passent sous sa mini… Je descends sa culotte sur ses cuisses… sur ses genoux… Je la pousse jusque sur ses chevilles… Puis c’est elle que pousse légèrement en arrière, ses reins rencontrent la table, elle s’y allonge… Je remonte ses jambes… Elle a encore sa culotte autour des chevilles, je l’en débarrasse et j’y enfoui mon nez… Je veux connaître son parfum de femme… Son odeur m’excite… Elle transparait à travers les odeurs de lessives et de linge frais… Son ventre est là, offert… J’avance ma tête, je sors ma langue que j’enfouis entre ses lèvres, je remonte, je fouille, je caresse, mes lèvres aspirent, ma langue trouve son bouton, je m’y attarde, c’est délicieux… Je la déguste, son fruit est mur, juteux, sucré, suave… J’ai passé les bras sous ses cuisses et remontés les mains sur ses seins, je les caresses, j’en fais rouler les pointes entre mes doigts, elle gémit, ses hanches roulent, elle frotte sa chatte à ma bouche, j’accélère, ses reins se révoltent et elle jouit dans ma bouche… Je la bois, j’embrasse son sexe, je le lèche encore, tout doucement, pour n’en perdre aucune goutte et l’accompagner dans son retour…
Je me relève, je me penche sur elle, j’embrasse ses seins et je lui glisse à l’oreille ‘’Maintenant je vais te prendre… Je vais poser ma queue à l’entrée de ton ventre et je vais pousser… Tout doucement… Je veux que tu profites de chaque millimètre de cette queue qui va te saillir ma belle… Et je veux sentir ton ventre, ta féminité et tes muscles les plus secrets s’ouvrir pour m’accueillir’’ Tout en lui susurrant cela, elle a senti que j’étais en train de déboucler mon ceinturon et de déboutonner mon pantalon… Je bande comme un cerf… Je fais ce que j’ai dit… Je présente mon sexe face au sien et je pousse doucement… Un bonheur… Elle est chaude, offerte, trempée, accueillante… Elle a fermé les yeux pour profiter de la sensation, j’ouvre grand les miens pour profiter de l’image de ma queue qui se perd dans son ventre… Voilà, je suis abouté au fond… Elle ouvre brièvement les yeux, un clignement, son regard est trouble… elle n’est plus vraiment là, perdue dans son plaisir où dans ses fantasmes… Je commence un lent mouvement de va & vient… Elle est trempée, c’est terriblement agréable cette sensation d’être enveloppé d’un cocon chaud et humide qui me masse à chaque contraction de ses muscles… J’ai les bras sous ses genoux pour maintenir ses jambes hautes, écartées… Pour maintenir se ventre offert ou je e noie avec volupté…
Un bruit, merde il y a quelqu’un… J’entends des talons… Je vois surgir à côté de moi une petite brunette bien faite, Jupe droite, noire, au-dessus du genou, un chemisier très rempli, cheveux court, et un sourire coquins que ne démente pas ses yeux qui brillent et qui dit ‘’Dis donc toi coquine, ça à l’air d’aller pour toi… Je vois que tu commences la journée avec un bon petit déjeuner… C’est ta mère qui t’as dit qu’il ne fallait jamais sortir sans s’être d’abord mis quelque chose de chaud dans le ventre,’’ En disant cela, elle a posé son sac et enlevé son cuir… Elle pose une main sur le ventre de sa copine toujours allongée sur la table, se penche et l’embrasse… Un baiser léger qui devient profond… La main de la brune est remontée et caresse les seins de la blonde… Moi je continue mon affaire, je suis super excité… La brune commence à déboutonner les poignets de son chemisier, puis un par un tous les boutons de devant et l’enlève sans cesser son baiser… Elle baisse les bonnets de son soutien-gorge, et offre ses seins à la bouche de sa copine qui s’en empare avidement… La brune descend sa main entre les cuisses de sa copine et commence à la caresser pendant que je continue de la prendre… Je ne cherche même pas ce que j’ai fait pour mériter ça, je profite, c’est tout… La blonde essaye de glisser la main sous la jupe de sa copine… Dur dur avec une jupe droite… Alors la brune relève elle-même sa jupe sur ses hanches pour laisser à sa copine un accès sans restriction à son ventre avant de se remettre à la caresser… La blonde a écarté la culotte de sa copine et à plonger les doigts dans son ventre… Elles gémissent toutes les deux… Visiblement, la brune a décidé de venir à bout de la blonde la première… Du coup j’accélère et la blonde s’envole une seconde fois…
Je la laisse redescendre sur terre… Je m’aperçois qu’elle n’a pas retiré ses doigts du ventre de sa copine… Elles s’embrassent toutes les deux… Des baisers légers d’après l’amour… Je me retire du ventre de la blonde et je viens me placer derrière la brune, je pose les mains sur ses hanches, juste sous la jupe remontée, je frotte ma queue qui bandent toujours autant à son ventre, par-dessus sa culotte, en frôlant les doigts de sa copine… Avec mes deux mains, je baisse sa culotte sur ses cuisses… Je me positionne derrière elle… C’est la blonde qui attrape ma queue… Elle la caresse rapidement, deux ou trois fois, puis elle la place elle-même à l’entrée du sexe de sa copine… Je pousse… Elle aussi est trempée… Je m’enfouis d’une seule poussée, d’une seule longueur… La brune est pliée sur les seins de sa copine… La blonde la caresse pendant que je la prends en lui tenant fortement les hanches… Plus j’y vais fort, plus elle gémit… Du coup je me lâche et je me jette dans son ventre aussi fort et aussi vite que je peux… A ce rythme je ne tiens pas longtemps et j’explose dans son ventre en poussant un cri ou je ne me reconnais pas… Je l’entends jouir en même temps que moi… Ce coup-ci c’est moi qui ai un peu de mal à redescendre sur terre… J’ai la tête plein d’étoile…
Nous partagerons ensuite un café tous les trois. J’apprendrai qu’elles sont colocataires et qu’elles n’avaient jamais fait l’amour ensemble… La brune avouera qu’elle y pensait depuis longtemps et qu’elle a saisi l’occasion de caresser sa copine… La blonde dira que le corps de la brune ne lui était pas indifférent mais qu’elle avait du mal à passer le pas, même si à certain moment, l’envie était là… Célibataires et colocataires… Pas lesbiennes à 100% mais ouvertes toutes les deux aux jeux et aux plaisirs…
Quand je repasse dans le quartier, je jette toujours un œil sur le parking… Plus de Mini Austin… Déménagée ? Peut-être… Plus sûrement, elle a changé de voiture… Pour une de ces saloperies de bagnoles modernes qui ne tombent presque jamais en panne…
Venus rouge -- 02 septembre 2013 |